Face à une production croissante de la BD et la difficulté de s'y retrouver, un prof de collège et la librairie L'Hydragon ont décidé de créer une association il y a quelques mois. Niort en Bulles voit le jour et les membres se réunissent mensuellement dans un bar. Il est question de BD autour d'un demi! Quelle bonne idée! Ça vous dit rien les globulleux!
Très vite rejoint par plus de 100 personnes, j'imagine que des alcooliques bédéphiles, ils décident de lancer un nouveau festival. Le samedi 2 juin se déroulera à Niort le Festival A2Bulles première édition. Natif de la région, Guillaume Bouzard (Plageman, The Autobiography of me too, le Club des Quatre...) était tout désigné pour devenir le président du festival. Celui-ci est basé sur un nouveau concept à savoir le choix exclusif des auteurs par le président. Larcenet, Ferri, Mezzo, Tanquerelle pour les plus connus ont répondu présent.
Pas mal pour un début. De plus le festival est en accès gratuit. Vive les Deux-Sèvres!
jeudi 31 mai 2007
mardi 29 mai 2007
Booouuummm
Juillet 1950 la Corée du nord est en marche sur Séoul et grignotte petit à petit son voisin du Sud . Les populations fuient devant cette armée d'ogres rouges et comptent sur les alliers américains pour les sauver. Mais des centaines de réfugiés, paniqués par les combats, perusadés d'échapper au pire, vont découvrir l'autre visage de ces alliers. Massacre au pont de No Gun Ri, est un Manhwa qui relatent une histoire authentique qui a été longtemps passée sous silence et n'a refait surface qu'en 1999 avec un articla de l'Associated Press. L'histoire horrible, d'enfants, de femmes, de veillards coincés sous les arches d'un pont et qui tombent sous les balles américaines. Park Kun-woong adapte ici le roman de Chung Eun-yong et nous emmène sur les pas d'une petite famille Coréenne qui cherchent à échapper à l'horreur de la guerre et se retrouvent finalement au coeur d'un véritable enfer. Cet album de 600 pages est un témoignage touchant qui ne laisse pas indiférent.
Autre BD, américaine cette fois, Nuits Blanches de Joel Orff traite aussi de la guerre. Mais le sujet et le traitement sont complètements différents. Ici on découvre un jeune étudiant américain, Jack qui est sur le point de partir pour le combat, qu'on imagine en Irak et qui se rappelle de ses derniers moments, ses soirées avec ses amis et cette fille qu'il n'aurait sans doute pas dû quitter. Avec des effets graphiques très cinémathographiques l'auteur nous fait passer des souvenirs à la réalité et apporte beaucoup de poésie à ce récit.
La guerre est une connerie et une sacrée saloperie et ces deux albums viennent, à leur manière, nous le rappeler.
vendredi 25 mai 2007
Robert le Barbare
On vous en parlait il y a de cela plusieurs mois déjà : Dino DeLaurentiis, producteur fou jamais en manque d'une idée saugrenue, s'est mis en tête de produire une nouvelle adaptation de BARBARELLA (d'après la bédé de Jean-Claude Forest et quarante ans après l'objet érotico-kitsch de Roger Vadim dont l'intrigue consistait à montrer Jane Fonda s'effeuiller une heure et demie durant. C'étaient les années 60 et tout, ou presque, était alors permis), engageant pour le job l'austère Peter Webber. Choix des plus curieux dans la mesure où les précédents travaux du cinéaste (LA JEUNE FILLE A LA PERLE, HANNIBAL RISING) n'ont pas révélé un tempérament franchement fun propice à accoucher du "James Bond femme dans l'espace" annoncé.
Mais bénis soient les dieux du cinéma qui ont entendu les suppliques des fans pervers puisque ce grigou de Dino(saure) vient de débarquer un Webber sans doute secrètement soulagé pour à sa place recruter ce bon vieux Robert Rodriguez, plus à même selon lui (et comme il a raison) de coller à la démesure déviante d'un projet à la cohérence toute relative.
Et comme tout paraît décidément s'orienter vers la bonne direction, on parle de la sculpturale Kate Beckinsale pour endosser les collants de l'héroïne - choix certainement influencé par son habitude des films improbables qui finissent, à force, par lui bâtir une filmographie des plus décadentes (PEARL HARBOR, UNDERWORLD 1 & 2, VAN HELSING... Ah oui, tout de même).
On n'ose imaginer ce que le meilleur ami de Tarantino va bien pouvoir commettre comme forfait avec un tel matériau entre les mains. Même si attendre quelque chose comme un SPY KIDS adulte semble assez raisonnable. On s'en délecte évidemment d'avance, tout en se demandant, avec une pointe d'angoisse bien légitime, si nos yeux pourront seulement supporter pareil spectacle...
lundi 21 mai 2007
Vote for Joker !
On avait prévenu que vous seriez tenu au courant, quasiment heure par heure, de l'évolution du tournage de THE DARK KNIGHT (et un blog est, après tout, fait pour ça. Si on devait ne publier que des news de première importance, on se retrouverait rapidement avec la régularité des anciennes mises à jour de Globulle. Ah ! Ah ! Ah !).
Voici donc, dans la catégorie (populaire ô combien) de "l'info spécialement lâchée pour apâter les nerds en puissance que nous sommes tous", rien moins que la toute première photo officielle du nouveau Joker !
Et force est de constater que le look, dark et crade juste ce qu'il faut, bien dans l'esprit du Caped Crusader-revival entamé avec BATMAN BEGINS, semble confirmer que Nolan, loin de se parjurer, enfonce le clou du précédent volet, décidé à bâtir une oeuvre à la cohérence certaine.
Et comme on croit au potentiel d'Heath Ledger (comédien sous-estimé) pour personnifier le vilain psycho, il est fort à parier que ce tome 2 des aventures du Chevalier Noir réserve de bien belles choses.
Le temps que le présent cliché fasse le tour du net et on se retrouve très bientôt pour l'exclusivité supra-mondiale de la première image du nouveau slip d'Alfred...
mardi 15 mai 2007
De 7 à 77 ans
Ca fait près de vingt-cinq ans qu’il en parle mais cette fois, ça y est, Spielberg vient d’annoncer, sous la houlette de ses studios Dreamworks, la mise en chantier de l’adaptation de TINTIN !
Celle-ci prendra la forme de non pas un mais trois (!) longs-métrages réalisés dans la foulée l’un de l’autre : le premier par Spielby en personne et le suivant par l’ami Peter Jackson (qui s’occupera conjointement de la production) - le nom de l’heureux élu du troisième n’ayant pas encore été révélé.
Surprise sur prise : le tout ne prendra pas la forme d’un film live mais d’une animation type « photoréaliste », à mi-chemin du récent TORTUES NINJA et de ce que Zemeckis a réalisé avec son POLE EXPRESS. Meilleure manière, selon Spielberg, de rendre sur grand écran la texture et le caractère si particuliers du monde d’Hergé. Jackson, par la grace de WETA (son département d’effets spéciaux qui a shooté l’intégralité des SFX du SEIGNEUR DES ANNEAUX), affirme avoir tourné une démo de vingt minutes qui l’a convaincu de se lancer dans l’aventure.
Pourquoi pas ? Même si le cinéphage déviant qui sommeille en chacun (en certains plus que d’autres, néanmoins) regrettera éternellement le projet similaire qu’avait, il y a deux décennies de cela, tenté de concrétiser Jean-Jacques Beinex avec Christophe Lambert dans le rôle du reporter belge. Qui sait s'il faut blâmer ou remercier les dieux du septième art de n’avoir pu assister à ça ?
Celle-ci prendra la forme de non pas un mais trois (!) longs-métrages réalisés dans la foulée l’un de l’autre : le premier par Spielby en personne et le suivant par l’ami Peter Jackson (qui s’occupera conjointement de la production) - le nom de l’heureux élu du troisième n’ayant pas encore été révélé.
Surprise sur prise : le tout ne prendra pas la forme d’un film live mais d’une animation type « photoréaliste », à mi-chemin du récent TORTUES NINJA et de ce que Zemeckis a réalisé avec son POLE EXPRESS. Meilleure manière, selon Spielberg, de rendre sur grand écran la texture et le caractère si particuliers du monde d’Hergé. Jackson, par la grace de WETA (son département d’effets spéciaux qui a shooté l’intégralité des SFX du SEIGNEUR DES ANNEAUX), affirme avoir tourné une démo de vingt minutes qui l’a convaincu de se lancer dans l’aventure.
Pourquoi pas ? Même si le cinéphage déviant qui sommeille en chacun (en certains plus que d’autres, néanmoins) regrettera éternellement le projet similaire qu’avait, il y a deux décennies de cela, tenté de concrétiser Jean-Jacques Beinex avec Christophe Lambert dans le rôle du reporter belge. Qui sait s'il faut blâmer ou remercier les dieux du septième art de n’avoir pu assister à ça ?
lundi 14 mai 2007
Géant vert
Sans doute dérouté par les prétentions auteurisantes de Ang Lee autant que par les faibles résultats du film au box-office, Avi Arad (le saint homme) a annoncé, dans un rare élan de négationnisme, que le HULK de 2003 était considéré comme « nul et non avenu » afin de faire repartir la franchise à zéro.
Et pour être certain qu’aucune circonvolution scénaristique trop corsée ne viendra interférer les scènes de destruction massive, il a engagé en tant que réalisateur le français Louis Letterier dont l’oeuvre (LE TRANSPOTTEUR 1 & 2, DANNY THE DOG) n’a, il est vrai, jusqu’à présent que modérément laissé place au doute métaphysique et à la question du pourquoi de la présence de l’homme dans l’univers...
Eric Bana et Jennifer Connelly mis sur la touche pour cause de manque de rentabilité, ce sont Edward Norton (AMERICAN HISTORY X, FIGHT CLUB) et Liv Tyler (ARMAGGEDON, LE SEIGNEUR DES ANNEAUX) qui reprendront les rôles de Bruce Banner et son amoureuse Betty Ross.
Charge à Tim Roth (le Mr Orange de RESERVOIR DOGS) de se confronter au géant vert et cabotiner sans retenue dans la peau de l'Abomination (alias Emil Blonsky, ancien angent du KGB ayant subi, de son plein gré, la même mutation que Dr Bruce, histoire de pouvoir lui foutre une raclée).
Attendre (au moins jusqu'à l'année prochaine, en l'occurence) et voir, comme disait l’autre. Mais d’ici à ce que même les plus virulents détracteurs du premier film regrettent le metteur en scène taïwannais...
Et pour être certain qu’aucune circonvolution scénaristique trop corsée ne viendra interférer les scènes de destruction massive, il a engagé en tant que réalisateur le français Louis Letterier dont l’oeuvre (LE TRANSPOTTEUR 1 & 2, DANNY THE DOG) n’a, il est vrai, jusqu’à présent que modérément laissé place au doute métaphysique et à la question du pourquoi de la présence de l’homme dans l’univers...
Eric Bana et Jennifer Connelly mis sur la touche pour cause de manque de rentabilité, ce sont Edward Norton (AMERICAN HISTORY X, FIGHT CLUB) et Liv Tyler (ARMAGGEDON, LE SEIGNEUR DES ANNEAUX) qui reprendront les rôles de Bruce Banner et son amoureuse Betty Ross.
Charge à Tim Roth (le Mr Orange de RESERVOIR DOGS) de se confronter au géant vert et cabotiner sans retenue dans la peau de l'Abomination (alias Emil Blonsky, ancien angent du KGB ayant subi, de son plein gré, la même mutation que Dr Bruce, histoire de pouvoir lui foutre une raclée).
Attendre (au moins jusqu'à l'année prochaine, en l'occurence) et voir, comme disait l’autre. Mais d’ici à ce que même les plus virulents détracteurs du premier film regrettent le metteur en scène taïwannais...
samedi 12 mai 2007
Dark Knight Returns !
Alors que le tournage de THE DARK KNIGHT (séquelle du BATMAN BEGINS, à nouveau réalisé par Christopher Nolan) vient à peine de débuter et que le net est déjà envahi de douteuses photos floues censément prises sur le vif, la Warner alimente sciemment le buzz naissant en ouvrant la page officielle du film (http://thedarkknight.warnerbros.com/) - laquelle se limite pour l'instant au strict logo reproduit ci-dessus.
Une manière comme une autre d'entretenir la hype autour de ce qui s'annonce comme LE gros morceau des adaptations de comics de l'année prochaine. Puisqu'il faudra, eh oui, patienter jusqu'à l'été 2008 avant de découvrir ce tome 2 des aventures du Chevalier Noir de Gotham.
On rappelle que Christian Bale, qui reprend le rôle-titre entouré de l'essentiel du casting du premier opus, sera cette fois opposé à Heath Ledger (BROKEBACK MOUNTAIN) en Joker et Aaron Eckhart (LE DAHLIA NOIR) qui se charge d'incarner Double-Face.
La suite, vivement !
mardi 8 mai 2007
Oyé oyé
vendredi 4 mai 2007
Magie blanche
Autre projet des plus curieux : se profile l’arrivée de MANDRAKE, super-héros des années 30 qu’exhume la firme Baldwin Entertainment Group afin de le faire voguer sur grand écran.
Magicien de son état (et, de fait, passant difficilement inaperçu dans une foule avec sa cape et son chapeau haut-de-forme), notre homme parcourt le monde pour, entre deux lucratives représentations, inlassablement lutter contre le Mal, flanqué de son fidèle valet africain Lothar (créé à une époque où n’existait aucune ligue contre le racisme) et faisant invariablement appel à ses fameux « pouvoirs hypnotiques » qui ont fasciné plusieurs générations de lecteurs du Journal de Mickey dans lequel étaient publiées ses aventures.
Ne pas pour autant s’attendre à une date révolutionnaire dans l’Histoire du septième art puisque c’est Chuck Russell (dont le C.V. s’enorgeuillit de titres aussi prestigieux que THE MASK, L’EFFACEUR ou LE ROI SCORPION) qui s'occupe de filmer le tout. Pour un résultat qu’on espère au moins distrayant.
Dans la mesure où l’amateur de comics rétros n’a, jusqu'à présent, pas vraiment eu de quoi se réjouir en matière d’adaptations - si on veut bien se rappeler ce qu’en leur temps donnèrent celles du FANTOME DU BENGALE (et son Billy Zane courant en collants mauves dans la jungle) ou du SHADOW (avec un Alec Baldwin fronçant des sourcils deux heures durant pour tenter de rendre l’aspect foncièrement inquiétant du personnage).
Et encore s’abstient-on, par charité, de parler du mythique FLASH GORDON : il est trop facile de tirer sur des ambulances d'un tel calibre...
Magicien de son état (et, de fait, passant difficilement inaperçu dans une foule avec sa cape et son chapeau haut-de-forme), notre homme parcourt le monde pour, entre deux lucratives représentations, inlassablement lutter contre le Mal, flanqué de son fidèle valet africain Lothar (créé à une époque où n’existait aucune ligue contre le racisme) et faisant invariablement appel à ses fameux « pouvoirs hypnotiques » qui ont fasciné plusieurs générations de lecteurs du Journal de Mickey dans lequel étaient publiées ses aventures.
Ne pas pour autant s’attendre à une date révolutionnaire dans l’Histoire du septième art puisque c’est Chuck Russell (dont le C.V. s’enorgeuillit de titres aussi prestigieux que THE MASK, L’EFFACEUR ou LE ROI SCORPION) qui s'occupe de filmer le tout. Pour un résultat qu’on espère au moins distrayant.
Dans la mesure où l’amateur de comics rétros n’a, jusqu'à présent, pas vraiment eu de quoi se réjouir en matière d’adaptations - si on veut bien se rappeler ce qu’en leur temps donnèrent celles du FANTOME DU BENGALE (et son Billy Zane courant en collants mauves dans la jungle) ou du SHADOW (avec un Alec Baldwin fronçant des sourcils deux heures durant pour tenter de rendre l’aspect foncièrement inquiétant du personnage).
Et encore s’abstient-on, par charité, de parler du mythique FLASH GORDON : il est trop facile de tirer sur des ambulances d'un tel calibre...
X-Men 3.5
Alors que tarde à se concrétiser le dossier WOLVERINE, malgré la présence d’un David Benioff (24 HEURES AVANT LA NUIT, TROIE), fan motivé, au scénario et le souhait de Hugh Jackman de se laisser pousser les rouflaquettes afin de reprendre le rôle, celui de MAGNETO (autre spin-off de la saga X-MEN qui se chargerait de narrer la jeunesse de ce fourbe d'Eric Magnus et végétait dans le sous-sol des projets en stand-by), vient de connaître un brusque coup d’accélérateur avec la nomination de David Goyer au poste de metteur en scène !
Choix des plus étranges dans la mesure où Goyer (l’homme sans qui n’aurait pas vu le jour la moitié des adaptations de comics de la dernière décennie), s’il a plus que fait ses preuves en tant que scénariste (signant notamment le script de BLADE et ayant reçu l’adoubement de la communauté bédéphile geek pour être parvenu à honorablement dépoussiérer le mythe du Chevalier noir de Gotham à travers le BATMAN BEGINS de Christopher Nolan) n’a pas, c’est le moins qu’on puisse dire, fédéré la même unanimité derrière ses talents de réalisateur. Son dernier exploit dans le domaine restant l’inénarrable BLADE TRINITY (à mi-chemin entre le film de vampires et la comédie pouêt-pouêt), ultime volet de la trilogie BLADE qui a, de manière irrémédiable, enterré la franchise pour au moins les mille ans à venir.
Mystères des décisionnaires des grand studios... Goyer s’est-il amendé au point de promettre de livrer quelque chose d’un minimum regardable ? Ou bien la Fox (dans un grand élan masochiste. A la suite d’un pari hasardeux. Ou encore pour tirer profit auprès des impôts d’une année déficitaire), a-t-elle décidé de produire un concurrent sérieux à l’hilarant X-MEN 3 (non) réalisé par ce génie qui s’ignore de Brett Ratner ?...
Du moment que n’apparaît nulle part Ryan Reynolds (le comique de cabaret qui fit de la vision de BLADE TRINITY une souffrance sans fin), on pourra déjà s’estimer satisfait...
Choix des plus étranges dans la mesure où Goyer (l’homme sans qui n’aurait pas vu le jour la moitié des adaptations de comics de la dernière décennie), s’il a plus que fait ses preuves en tant que scénariste (signant notamment le script de BLADE et ayant reçu l’adoubement de la communauté bédéphile geek pour être parvenu à honorablement dépoussiérer le mythe du Chevalier noir de Gotham à travers le BATMAN BEGINS de Christopher Nolan) n’a pas, c’est le moins qu’on puisse dire, fédéré la même unanimité derrière ses talents de réalisateur. Son dernier exploit dans le domaine restant l’inénarrable BLADE TRINITY (à mi-chemin entre le film de vampires et la comédie pouêt-pouêt), ultime volet de la trilogie BLADE qui a, de manière irrémédiable, enterré la franchise pour au moins les mille ans à venir.
Mystères des décisionnaires des grand studios... Goyer s’est-il amendé au point de promettre de livrer quelque chose d’un minimum regardable ? Ou bien la Fox (dans un grand élan masochiste. A la suite d’un pari hasardeux. Ou encore pour tirer profit auprès des impôts d’une année déficitaire), a-t-elle décidé de produire un concurrent sérieux à l’hilarant X-MEN 3 (non) réalisé par ce génie qui s’ignore de Brett Ratner ?...
Du moment que n’apparaît nulle part Ryan Reynolds (le comique de cabaret qui fit de la vision de BLADE TRINITY une souffrance sans fin), on pourra déjà s’estimer satisfait...
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