On touche au sublime. Jenna Jameson, actrice internationalement renommée de films pour adultes (enfin, parait-il. Comme si j’y connaissais quoique ce soit en ce si sulfureux domaine. Allez demander, si vous désirez le moindre renseignement, au mystérieux [DL] qui se fera un plaisir de partager ses connaissances encyclopédiques en la matière), en phase de reconversion après une retraite bien méritée, s’apprète à lancer, chez Virgin Comics, une série intitulée « Shadow Hunter ».
Une trame à la « Buffy » (la protagonniste lutte contre les forces du mal afin de sauvegarder son âme) pour un traitement annoncé comme « sexy mais dépourvu de scènes de nudité » (je sens poindre la déception chez la frange masculine du lectorat) et dont l’héroïne revèt, bien évidemment en la circonstance, les traits de la dame (comme on peut le constater sur le dessin de pré-production signé par l’érotomane Greg Horn). Laquelle a annoncé qu’en cas de succès éditorial, le tout pourrait fort bien se voir adapté en film (et vive le cinéma d’auteur) : c'est dire si on a hâte.
Mais aura-t-on, d'ici là, seulement la patience d’attendre la fin de l’année afin de bénéficier de la sortie d'un tel événement ?
mercredi 29 août 2007
lundi 27 août 2007
Le facteur Y
Un homme se réveille un beau matin pour s'apercevoir que tous les mâles de la planète disparaissent subitement et qu'il se retrouve rapidement comme dernier représentant de son espèce au milieu d'une population désormais exclusivement féminine.
J'en vois qui salivent déjà à l'idée d'un tel postulat : lequel se révèle pourtant plus douloureux qu'une des plaies d'Egypte pour Yorick Brown, l'ultime porteur du chromosome Y, bientôt plongé au sein d'un univers post-apocalyptique où la nouvelle société matriarcale ne se montre en rien plus agréable à vivre que la précédente (voire moins, en ce qui le concerne). D'autant que notre homme, en plus de sa survie immédiate, se coltine une foule de questions (sur le pourquoi de la situation) auxquelles il va vouloir obtenir des réponses au fur et à mesure de son odyssée.
Forte de son succès aux Etats-Unis, la tortueuse série de Brian K. Vaughan et Pia Guerra ne pouvait décemment laisser le cinéma indifférent plus longtemps. C'est donc, sous l'égide de New Line, DJ Caruso (auteur du sympathique SALTON SEA et du moins sympathique TAKING LIVES) qui s'y collera. Avec, vient-on d'apprendre, le bientôt célèbre Shia LeBoeuf (TRANSFORMERS, le prochain INDIANA JONES 4) dans le rôle principal - qui consistera, si on a bien suivi, à passer plusieurs semaines de tournage entouré d'un casting 100 % féminin (pas bête le Shia. Y en a qui ont vraiment tout compris. Même que plus tard, quand je serai grand, je veux faire star à Hollywood).
De quoi attendre un excitant survival d'anticipation. A condition que le résultat soit un peu plus conforme au comics d'origine que CONSTANTINE, dernière adaptation Vertigo qui avait évacué une bonne partie de la noirceur du matériel de départ au profit d'un politiquement correct qui frolait l'absurde. Comme si une seule bande en provenance de chez Vertigo avait jamais, de près ou de loin, flirté avec la moindre correction - politique ou pas...
J'en vois qui salivent déjà à l'idée d'un tel postulat : lequel se révèle pourtant plus douloureux qu'une des plaies d'Egypte pour Yorick Brown, l'ultime porteur du chromosome Y, bientôt plongé au sein d'un univers post-apocalyptique où la nouvelle société matriarcale ne se montre en rien plus agréable à vivre que la précédente (voire moins, en ce qui le concerne). D'autant que notre homme, en plus de sa survie immédiate, se coltine une foule de questions (sur le pourquoi de la situation) auxquelles il va vouloir obtenir des réponses au fur et à mesure de son odyssée.
Forte de son succès aux Etats-Unis, la tortueuse série de Brian K. Vaughan et Pia Guerra ne pouvait décemment laisser le cinéma indifférent plus longtemps. C'est donc, sous l'égide de New Line, DJ Caruso (auteur du sympathique SALTON SEA et du moins sympathique TAKING LIVES) qui s'y collera. Avec, vient-on d'apprendre, le bientôt célèbre Shia LeBoeuf (TRANSFORMERS, le prochain INDIANA JONES 4) dans le rôle principal - qui consistera, si on a bien suivi, à passer plusieurs semaines de tournage entouré d'un casting 100 % féminin (pas bête le Shia. Y en a qui ont vraiment tout compris. Même que plus tard, quand je serai grand, je veux faire star à Hollywood).
De quoi attendre un excitant survival d'anticipation. A condition que le résultat soit un peu plus conforme au comics d'origine que CONSTANTINE, dernière adaptation Vertigo qui avait évacué une bonne partie de la noirceur du matériel de départ au profit d'un politiquement correct qui frolait l'absurde. Comme si une seule bande en provenance de chez Vertigo avait jamais, de près ou de loin, flirté avec la moindre correction - politique ou pas...
mardi 21 août 2007
Jeunesse sonique
Et ça continue ! Prenant la suite de BATMAN 2 (en tournage), des WATCHMEN (en préparation) et de LA LIGUE DES JUSTICIERS (sur les rails), le partenariat entre DC et Warner s’enorgueillit d’un nouveau titre à venir avec les TEEN TITANS, histoire de surfer sur le succès du cartoon télévisuel éponyme qui a, depuis quelques années, remis la fine équipe au goût du jour et, sans doute, ainsi tenter de piquer à Marvel une partie de son plus jeune auditoire, racolé par ces derniers à coups de 4 FANTASTIQUES.
Sorte de baby-JLA à destination des morveux, la team des Teen Titans regroupe en son sein quelques sidekicks de noms illustres, parmi lesquels Robin, Kid Flash, Aqualad, Wonder Girl ou encore Speedy (sans compter les ajouts au fur et à mesure des années) qui s'occupent de combattre mille et un périls lorsque leurs boss respectifs profitent de leur RTT en glandant peinardos avec une bière devant la télé...
Si aucun réalisateur ni acteur ne sont encore annoncés, on sait par contre que le script sera signé par Mark Verheiden, habitué des jeunes gens en collants (oui, dit comme ça, ça fait bizarre...) puisqu'on lui doit nombre épisodes de "Smallville" - la série qui relate l'enfance d'un Clark Kent ado dans son trou paumé de l'Amérique profonde. Référence pas pire qu'une autre dans la mesure où elle devrait permettre d'au moins échapper aux habituels gags régressifs ayant cours chez le concurrent Marvel dès qu'il est question de viser un public en culotte courtes (et qu'on fait semblant de ne pas cautionner alors qu'en fait on adore ça)...
Sorte de baby-JLA à destination des morveux, la team des Teen Titans regroupe en son sein quelques sidekicks de noms illustres, parmi lesquels Robin, Kid Flash, Aqualad, Wonder Girl ou encore Speedy (sans compter les ajouts au fur et à mesure des années) qui s'occupent de combattre mille et un périls lorsque leurs boss respectifs profitent de leur RTT en glandant peinardos avec une bière devant la télé...
Si aucun réalisateur ni acteur ne sont encore annoncés, on sait par contre que le script sera signé par Mark Verheiden, habitué des jeunes gens en collants (oui, dit comme ça, ça fait bizarre...) puisqu'on lui doit nombre épisodes de "Smallville" - la série qui relate l'enfance d'un Clark Kent ado dans son trou paumé de l'Amérique profonde. Référence pas pire qu'une autre dans la mesure où elle devrait permettre d'au moins échapper aux habituels gags régressifs ayant cours chez le concurrent Marvel dès qu'il est question de viser un public en culotte courtes (et qu'on fait semblant de ne pas cautionner alors qu'en fait on adore ça)...
lundi 20 août 2007
Fighting Spirit
Jamais en manque, depuis quelque temps, d'une idée saugrenue, Frank Miller a visiblement été si enthousiasmé par les passages à l'écran de SIN CITY et 300 (ça doit bien être le seul) qu'il a décidé de mettre en parenthèses sa carrière dans la bédé afin de se consacrer à plein temps au cinéma.
Décision d'autant plus étrange qu'il va, pour sa première réalisation, s'occuper de rien moins qu'une adaptation du légendaire SPIRIT de Will Eisner. Certains apprécient la difficulté et on ne pourra, certes, pas accuser le Frank de jouer les timorés (mais il semble que l'humilité n'a jamais fait partie de ses qualités premières).
Relatant, dans les années 40, les aventures d'un criminologue ayant simulé sa mort afin de pouvoir plus efficacement lutter contre le mal, la bande-culte d'Eisner est généralement considérée comme l'un des titres ayant révolutionné le neuvième art et imposé (par ses cadrages, son découpage quasi-cinématographique, son noir et blanc contrasté, sa vision urbaine d'un troublant réalisme et une violence inédite jusqu'alors) un insurpassable modèle pour les comics des décennies suivantes. Lequel reste, aujourd'hui encore, d'une bluffante modernité. C'est dire à quel point on souhaite bonne chance à l'auteur de "Dark Knight" qui risque simplement (en cas de trahison trop grossière de l'univers du maître Will) de se voir délivré une fatwa par des fans hardcore mécontents (même s'il est vrai que les fans hardcore sont, par essence, toujours mécontents).
C'est le très modérément connu Gabriel Macht (jusqu'à présent surtout habitué des séries t.v.) qui endossera l'imper du vigilante masqué. Tandis que Samuel Jackson incarnera le vil Octopus, l'indispensable nemesis du héros, secondé dans sa tache par Scarlett Johanssen dans la peau de la perverse Silk N. Floss, alors que la gironde Eva Mendes complète le casting.
Sortie programmé pour 2009. On attend d'ici là avec angoisse les premières images de la bête...
Décision d'autant plus étrange qu'il va, pour sa première réalisation, s'occuper de rien moins qu'une adaptation du légendaire SPIRIT de Will Eisner. Certains apprécient la difficulté et on ne pourra, certes, pas accuser le Frank de jouer les timorés (mais il semble que l'humilité n'a jamais fait partie de ses qualités premières).
Relatant, dans les années 40, les aventures d'un criminologue ayant simulé sa mort afin de pouvoir plus efficacement lutter contre le mal, la bande-culte d'Eisner est généralement considérée comme l'un des titres ayant révolutionné le neuvième art et imposé (par ses cadrages, son découpage quasi-cinématographique, son noir et blanc contrasté, sa vision urbaine d'un troublant réalisme et une violence inédite jusqu'alors) un insurpassable modèle pour les comics des décennies suivantes. Lequel reste, aujourd'hui encore, d'une bluffante modernité. C'est dire à quel point on souhaite bonne chance à l'auteur de "Dark Knight" qui risque simplement (en cas de trahison trop grossière de l'univers du maître Will) de se voir délivré une fatwa par des fans hardcore mécontents (même s'il est vrai que les fans hardcore sont, par essence, toujours mécontents).
C'est le très modérément connu Gabriel Macht (jusqu'à présent surtout habitué des séries t.v.) qui endossera l'imper du vigilante masqué. Tandis que Samuel Jackson incarnera le vil Octopus, l'indispensable nemesis du héros, secondé dans sa tache par Scarlett Johanssen dans la peau de la perverse Silk N. Floss, alors que la gironde Eva Mendes complète le casting.
Sortie programmé pour 2009. On attend d'ici là avec angoisse les premières images de la bête...
dimanche 12 août 2007
Batman Animated
Tandis que le tournage de THE DARK KNIGHT (séquelle de BATMAN BEGINS pour ceux qui ne suivent pas. Mais faut-il vraiment que vous le fassiez exprès ou ne passiez jamais sur le blog – ce qui serait alors bien triste et nous ferait à tous beacoup de peine) bat son plein, la machine promo n’en finit plus de s’emballer afin de dignement préparer une sortie en grandes pompes.
La Warner vient ainsi d’annoncer la mise en chantier d’un BATMAN ANIME, conçu sur le même modèle que les ANIMATRIX (réalisés entre MATRIX et MATRIX RELOADED) et DARK FURY (mis en place entre PITCH BLACK et LES CHRONIQUES DE RIDDICK). A savoir : une compilation de court-métrages d’animation destinés à faire la soudure entre le premier film et sa séquelle et alimenter la mythologie de l’univers concerné.
Initiative des plus plus sympathiques pour laquelle auraient notamment été recrutés Brian Azzarello (auteur de « 100 Bullets », révéré par la quasi-totalité de Globulle et qui a déjà taté du Caped Crusader à travers son « Broken City » mis en images par Eduardo Risso) et David Goyer (scénariste du premier film), ce qui, vu leurs personnalités respectives, promet un ton hard-boiled en phase avec l’ambiance implantée par Nolan sur BATMAN BEGINS (et qu’on imagine conservée pour sa suite).
Du moment que le résultat est au moins à moitié aussi génial que la mythique série de Bruce Timm et Eric Radomski qui illumina les écrans télévisuels durant la précédente décennie, tout le monde pourra s’estimer satisfait.
Ah oui, le fan est exigeant mais c'est que « Skate is High », comme disait De La Soul...
La Warner vient ainsi d’annoncer la mise en chantier d’un BATMAN ANIME, conçu sur le même modèle que les ANIMATRIX (réalisés entre MATRIX et MATRIX RELOADED) et DARK FURY (mis en place entre PITCH BLACK et LES CHRONIQUES DE RIDDICK). A savoir : une compilation de court-métrages d’animation destinés à faire la soudure entre le premier film et sa séquelle et alimenter la mythologie de l’univers concerné.
Initiative des plus plus sympathiques pour laquelle auraient notamment été recrutés Brian Azzarello (auteur de « 100 Bullets », révéré par la quasi-totalité de Globulle et qui a déjà taté du Caped Crusader à travers son « Broken City » mis en images par Eduardo Risso) et David Goyer (scénariste du premier film), ce qui, vu leurs personnalités respectives, promet un ton hard-boiled en phase avec l’ambiance implantée par Nolan sur BATMAN BEGINS (et qu’on imagine conservée pour sa suite).
Du moment que le résultat est au moins à moitié aussi génial que la mythique série de Bruce Timm et Eric Radomski qui illumina les écrans télévisuels durant la précédente décennie, tout le monde pourra s’estimer satisfait.
Ah oui, le fan est exigeant mais c'est que « Skate is High », comme disait De La Soul...
vendredi 10 août 2007
Le nouveau look de l'homme de fer
On avait eu un avant-goût de l’armure vintage (sans doute utilisée au début du film) il y a quelques mois de cela. Voici que vient désormais d’être dévoilée ce qui sera certainement l’apparence définitive de notre ami l’homme de fer dans le film qui lui est consacré.
Une assez bonne surprise, ma foi, puisque le design, plutôt classe, se montre fidèle aux derniers looks en date du personnage (possédant même un je-ne-sais-quoi de manga) et évite surtout le ridicule tant redouté par les fans à l’annonce du projet.
On rappelle que c’est Robert Downey Jr qui incarne le milliardaire alcoolo Tony Stark, Gwyneth Paltrow sa chère et tendre, Jeff Bridges son mentor chauve et barbu (c’est souvent le cas des mentors. La barbe, surtout) et que le tout, promptement emballé par Jon Favreau, pointera son nez sur les écrans d’Outre-Atlantique en Mai prochain.
On attend maintenant le premier teaser...
Une assez bonne surprise, ma foi, puisque le design, plutôt classe, se montre fidèle aux derniers looks en date du personnage (possédant même un je-ne-sais-quoi de manga) et évite surtout le ridicule tant redouté par les fans à l’annonce du projet.
On rappelle que c’est Robert Downey Jr qui incarne le milliardaire alcoolo Tony Stark, Gwyneth Paltrow sa chère et tendre, Jeff Bridges son mentor chauve et barbu (c’est souvent le cas des mentors. La barbe, surtout) et que le tout, promptement emballé par Jon Favreau, pointera son nez sur les écrans d’Outre-Atlantique en Mai prochain.
On attend maintenant le premier teaser...
lundi 6 août 2007
...and Justice For All
Décidé à rattraper son retard sur Marvel qui inonde le marché au point d’occuper, depuis quelques années, un quasi-monopole sur le terrain des adaptations de comics, DC a lancé la contre-attaque en dégainant coup sur coup les très estimables BATMAN BEGINS puis SUPERMAN RETURNS qui ont convaincu du potentiel de leurs produits et démontré, si cela était nécessaire, que la qualité sera toujours préférable à la quantité.
Tout en continuant de choisir avec soin les titres qui connaitront l’honneur d’un passage sur grand écran, la maison-mère entend désormais passer à la vitesse supérieure puisque est annoncée, outre les inévitables séquelles des susnommés BATMAN (THE DARK KNIGHT, actuellement en tournage) et SUPERMAN (THE MAN OF STEEL, initialement programmé pour 2009), l'adaptation de la JUSTICE LIGUE OF AMERICA.
Sorte de Dream Team regroupant, sur papier, la crème des héros-maison faisant cause commune afin de déjouer des menaces à chaque fois plus terribles pour la survie de l’espèce humaine, la Ligue version film présenterait rien moins que Superman, Batman, The Flash, Wonder Woman et Green Lantern (ces derniers en attente de leur propre production si le tout récoltait un succès suffisant) dans une histoire encore inconnue (mais forcément palpitante).
Tout ceci resterait, ma foi, assez anecdotique si l’on ne venait d’apprendre que le metteur en scène contacté pour emballer la chose n’est autre que le grand George Miller, artiste ô combien éclectique dont le seul point commun entre ses diverses réalisations tient en une constance dans l’excellence (MAD MAX, BABE 2, HAPPY FEET...). Ce qui ne laisse pas d’intriguer sur la vision qu’il pourrait appliquer à l’ensemble et le traitement qu’on l’imagine faire subir au genre.
Si l’ensemble n’en est encore qu’au stade des rumeurs, tout et son contraire a déjà été dit au sujet du casting puisque Christian Bale a déclaré qu’il ne reprendrait pas son rôle de Batman alors que Brandon Routh serait, quant à lui, prêt à réendosser le costume de Supes (d’autant que Warner, faisant du présent projet une priorité, aurait du coup repoussé le SUPERMAN 2 a une date encore indéterminée).
On attendra que ce petit monde se mette d’accord afin de savoir si le tout deviendra réalité ou rejoindra l’improbable BATMAN VS SUPERMAN (dont devait s’occuper Wolfgang Petersen) au rayon des films mythiques n’ayant jamais vu le jour (doit-on, concernant ce dernier, vraiment s’en plaindre ?).
Tout en continuant de choisir avec soin les titres qui connaitront l’honneur d’un passage sur grand écran, la maison-mère entend désormais passer à la vitesse supérieure puisque est annoncée, outre les inévitables séquelles des susnommés BATMAN (THE DARK KNIGHT, actuellement en tournage) et SUPERMAN (THE MAN OF STEEL, initialement programmé pour 2009), l'adaptation de la JUSTICE LIGUE OF AMERICA.
Sorte de Dream Team regroupant, sur papier, la crème des héros-maison faisant cause commune afin de déjouer des menaces à chaque fois plus terribles pour la survie de l’espèce humaine, la Ligue version film présenterait rien moins que Superman, Batman, The Flash, Wonder Woman et Green Lantern (ces derniers en attente de leur propre production si le tout récoltait un succès suffisant) dans une histoire encore inconnue (mais forcément palpitante).
Tout ceci resterait, ma foi, assez anecdotique si l’on ne venait d’apprendre que le metteur en scène contacté pour emballer la chose n’est autre que le grand George Miller, artiste ô combien éclectique dont le seul point commun entre ses diverses réalisations tient en une constance dans l’excellence (MAD MAX, BABE 2, HAPPY FEET...). Ce qui ne laisse pas d’intriguer sur la vision qu’il pourrait appliquer à l’ensemble et le traitement qu’on l’imagine faire subir au genre.
Si l’ensemble n’en est encore qu’au stade des rumeurs, tout et son contraire a déjà été dit au sujet du casting puisque Christian Bale a déclaré qu’il ne reprendrait pas son rôle de Batman alors que Brandon Routh serait, quant à lui, prêt à réendosser le costume de Supes (d’autant que Warner, faisant du présent projet une priorité, aurait du coup repoussé le SUPERMAN 2 a une date encore indéterminée).
On attendra que ce petit monde se mette d’accord afin de savoir si le tout deviendra réalité ou rejoindra l’improbable BATMAN VS SUPERMAN (dont devait s’occuper Wolfgang Petersen) au rayon des films mythiques n’ayant jamais vu le jour (doit-on, concernant ce dernier, vraiment s’en plaindre ?).
mercredi 1 août 2007
Fils du diable
Poursuivant dans sa logique d’alterner blockbusters pop et oeuvres plus intimistes, Guillermo Del Toro, après LE LABYRINTHE DE PAN, se penche à nouveau sur le cas de HELLBOY, quatre ans après un premier essai dont le résultat mitigé a laissé pour le moins partagée la majorité des fans du héros de Mignola.
Pas de quoi perturber l’ami Guillermo qui, conscient de la déception d’une partie de son auditoire, assure réaliser cet épisode 2 afin d'offrir au public une vision du démon vermillon plus proche de la bédé que celle offerte par le précédent opus (comme si on n’avait jamais entendu ce genre de déclaration d’intention auparavant. Faisons comme si...).
Peu d’indications pour l’instant à se mettre sous la dent. Tout juste sait-on que l’essentiel de l’équipe a rempilé et que Mignola participe à l’élaboration du script pour suivre d’encore plus près le sort réservé à ses personnages.
Le même Mignola qui, histoire de faire monter la sauce, a présenté aux fans éblouis du Comic-Con une pré-affiche racée comme lui seul sait les confectionner et qui, pour le coup, éveille l’intérêt et ferait presque attendre l'ensemble (prévu pour Juillet prochain) avec envie. Ah, il est fort, ce Mike...
Pas de quoi perturber l’ami Guillermo qui, conscient de la déception d’une partie de son auditoire, assure réaliser cet épisode 2 afin d'offrir au public une vision du démon vermillon plus proche de la bédé que celle offerte par le précédent opus (comme si on n’avait jamais entendu ce genre de déclaration d’intention auparavant. Faisons comme si...).
Peu d’indications pour l’instant à se mettre sous la dent. Tout juste sait-on que l’essentiel de l’équipe a rempilé et que Mignola participe à l’élaboration du script pour suivre d’encore plus près le sort réservé à ses personnages.
Le même Mignola qui, histoire de faire monter la sauce, a présenté aux fans éblouis du Comic-Con une pré-affiche racée comme lui seul sait les confectionner et qui, pour le coup, éveille l’intérêt et ferait presque attendre l'ensemble (prévu pour Juillet prochain) avec envie. Ah, il est fort, ce Mike...
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