Quoi de mieux qu'une bonne actu pour relancer le blog, véritable phénix qui n'en finira jamais d'éternellement renaître de ses cendres glacées ?...
L'info du jour concerne donc l'adaptation à l'écran de la Suicide Squad : vieux titre en provenance de chez DC Comics qui, depuis quelques années, vit une étonnante seconde jeunesse.
Jusqu'à ainsi pousser Warner à en faire (après les Man of Steel et Batman vs Superman de Zack Snyder) le troisième chapitre son multiverse en cours.
Jusqu'à ainsi pousser Warner à en faire (après les Man of Steel et Batman vs Superman de Zack Snyder) le troisième chapitre son multiverse en cours.
Le postulat voit une équipe de super-vilains (en général, des seconds couteaux facilement sacrifiables) emprisonnés à qui une agence gouvernementale top-secret offre l'occasion de participer à une mission quasi-suicide en échange d'un allègement de peine.
Concept aussi primaire qu'alléchant, prétexte aux pires débordements, que David Ayer, tout auréolé du succès (au moins d'estime) de son coriace film de guerre Fury, va se charger d'adapter à l'écran.
Choix qu'on est en droit de trouver totalement cohérent tant ce Douze salopards version super-héros semble s'inscrire dans la lignée de son cinéma badass (voire carrément bourrin dans le cas de Sabotage).
Le réal a, pour ce faire, réuni un casting pléthorique qui comprend, notamment, pas moins que Jai Courtney (Die Hard 5), Margot Robbie (Le loup de Wall Street), Will Smith, Joel Kinnaman (Robocop 2014), Violas Davis (Hacker), le rappeur Common et on en passe...
Sans compter la plus-value, le grain de sel, ce qui fait causer tout le net depuis l'annonce du projet : le grand retour du Joker qui apparaîtra, cette fois-ci, sous les traits de Jared Leto.
Choix surprenant mais qui témoigne, au moins, du désir de Ayer de s'éloigner des précédentes incarnations du personnage à l'écran.
La première photo officielle, dévoilée avant-hier, emprunte d'ailleurs un look diffèrent des versions Nicholson et Ledger et promet de s'orienter vers quelque chose d'inédit (même si on y sent de larges effluves du Killing Joke de Moore et Bolland).
Le côté "émo" revendiqué semblant même, au vu du passif musical de l'acteur, plutôt bien vu...
On en recause, bien entendu, au fur et à mesure de l'avancée du projet...
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