Récemment évoqué en ces lieux à l’occasion de X-MEN : FIRST CLASS (voir news du 11/02), WOLVERINE fait partie du fond du panier des adaptations de la maison-mère, à ranger aux côtés d’ELEKTRA et GHOST RIDER dans le genre bâclé et comique involontaire.
Ce qui n’a nullement empêché les pontes du studio d’annoncer une séquelle, rapidement rendue inévitable par les recettes (inexplicablement) élevées du produit.
L’appât du gain n’excluant cependant pas une certaine lucidité, le réalisateur Gavin Hood a été écarté du projet au profit de Darren Aronofsky.
Et s’il peut être surprenant de trouver à telle place le metteur en scène de REQUIEM FOR A DREAM (plus habitué des prestigieux festivals que des pages de Strange), on rappelle qu’il est aussi un acharné fan de bédé.
Ce qui n’a nullement empêché les pontes du studio d’annoncer une séquelle, rapidement rendue inévitable par les recettes (inexplicablement) élevées du produit.
L’appât du gain n’excluant cependant pas une certaine lucidité, le réalisateur Gavin Hood a été écarté du projet au profit de Darren Aronofsky.
Et s’il peut être surprenant de trouver à telle place le metteur en scène de REQUIEM FOR A DREAM (plus habitué des prestigieux festivals que des pages de Strange), on rappelle qu’il est aussi un acharné fan de bédé.
Ayant notamment signé le scénar de l’adaptation en comic-book de THE FOUNTAIN (son troisième long-métrage) – expérience qu’il s’apprête d’ailleurs à renouveler pour NOAH, variation autour du mythe de l’arche de Noé (et possible futur film).
Ou qu’après avoir été annoncé à la mise en scène des WATCHMEN, il a longtemps souhaité filmer le BATMAN : YEAR ONE de Miller et Mazzuchelli (projet finalement récupéré par Nolan qui l’a transmué en BATMAN BEGINS).
Et même si THE WRESTLER et BLACK SWAN, derniers opus du bonhomme, ont pu décevoir en s’orientant vers un trip auteurisant franchement casse-bonbons, on ne peut que s’avouer intrigué (pour ne pas dire plus) à l’idée qu’il mette son extraordinaire sens de l’image au service d’un pur délire esthétique à même de capter l’essence des pages retranscrites.
On sait, sinon, que ce troisième chapitre de la série X-MEN ORIGINS transposera « Je suis Wolverine ! » (ça, c’est de l’affirmation de soi) : one-shot scénarisé par Frank Miller (toujours lui) et dessiné par Chris Claremont, qui voyait notre ami Serval s’en aller au Japon découper des ninjas et tomber amoureux de la fille de son pire ennemi.
La routine de tout super-héros qui se respecte, quoi…
Ou qu’après avoir été annoncé à la mise en scène des WATCHMEN, il a longtemps souhaité filmer le BATMAN : YEAR ONE de Miller et Mazzuchelli (projet finalement récupéré par Nolan qui l’a transmué en BATMAN BEGINS).
Et même si THE WRESTLER et BLACK SWAN, derniers opus du bonhomme, ont pu décevoir en s’orientant vers un trip auteurisant franchement casse-bonbons, on ne peut que s’avouer intrigué (pour ne pas dire plus) à l’idée qu’il mette son extraordinaire sens de l’image au service d’un pur délire esthétique à même de capter l’essence des pages retranscrites.
On sait, sinon, que ce troisième chapitre de la série X-MEN ORIGINS transposera « Je suis Wolverine ! » (ça, c’est de l’affirmation de soi) : one-shot scénarisé par Frank Miller (toujours lui) et dessiné par Chris Claremont, qui voyait notre ami Serval s’en aller au Japon découper des ninjas et tomber amoureux de la fille de son pire ennemi.
La routine de tout super-héros qui se respecte, quoi…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire