
Au menu : robots pervers, monstres hybrides, singes savants et nains malfaisants, tel est l'univers de El Borbah, le gros tas de viande-détective-luchador sorti de l'imagination débridée de Charles Burns.
C'est encore un des rares auteurs a ne pas s'afficher sur la toile. Mais pour le temps d'une exposition, qui lui ait consacré à l'Adam Baumgold Gallery, vous trouverez une page sur leur site internet proposant un panel de ses dessins de 1985 à 2008. Superbe!
1 commentaire:
Existe-t-il dans l'univers meilleure chose que feuilleter les trépidantes aventures du plus célèbre des détectives catcheurs ?
On en doute. Et s'il s'avère que oui, alors qu'on me le prouve.
Cornelius (maison dont le bon goût et la probité ne sont plus à démontrer) reste fidèle à sa ligne directrice en rééditant ce grandiose "Defectives Stories", peut-être (sans doute) ce que le maître Charles a réalisé de mieux.
Je remets ici ce que j'en disais sur une autre news (rien de plus agréable que s'auto-citer) : "Un recueil déjanté (forcément) mettant en scène, au sein d'enquêtes tordues, macabres et hilarantes, le génial El Borbah, qui cogne comme Schwarzenegger et tchatche avec la répartie de Michel Audiard.
Soit l'un des meilleurs persos jamais inventés en bédé, pour toujours gravé au panthéon des grandes figures du neuvième art et qui devrait servir d'exemple à toutes les générations à venir en terme de look, esprit et mode de vie. Gloire lui soit éternellement rendue !".
Big up to Burns !
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